Le Film (mai 1949)

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Van Heflin ECHOS D'UNE RENCONTRE Deborah Kerr Le Film, Montréal, mai 1949 et Van Heflin Par LOUISE GILBERT-SAUVAGE -(Notre correspondante à Hollywood) "EST lors d’un déjeuner de la Presse Etrangère à Hollywood que je ren contrai Déborah Kerr et Van Hefiin. À ces déjeuners mensuels donnés à l'Hôtel Roosevelt, la “Hollywood Foreign Correspondent Association” invite des étoiles, des directeurs et des écrivains le marque. À l'issue du repas des questions sont posées aux invités, en marge de leur carrière, etc., questions d'intérêt général, bien entendu. Devant chacun des interviewés se trouve une clochette dont ils peuvent se servir à souhait, si les questionneurs se montraient indiscrets. C'est toujours la partie la plus humoristique du programme, lequel est marqué d’ailleurs, et du commencement à la fin, du plus bel esprit de camaraderie. Il va sans dire que ces déjeuners, sur invitation, sont très populaires. C’est l’un des moyens les plus faciles d’apercevoir de près des vedettes de premier choix, de les entendre converser, et de juger de visu que la personnalité, le talent dramatique vont le plus souvent de pair avec la simplicité jointe à de magnifiques qualités d’esprit. Ci-contre, HEFLIN photographiés à Ce jour-là, donc, on m'avait priée de présenter Van Heflin à l'assistance, tâche très facile, car Van qui est très agréable à voir à l'écran, gagne encore à se faire connaître dans l'intimité de la conversation. “ Le charme qui se dégage de la personnalité de Deborah Kerr est un ensemble de pondération et de tact joint à un sens de l’humour qui lui gagne tout de suite toutes les sympathies. Van Heflin semble être de la catégorie de ces hommes dignes de confiance que l’on rencontre partout dans la bonne bourgeoisie, et qui n’ont rien à voir avec le type “dandy” avide surtout de publicité si répandu à Hollywood. Ces qualités, il les a toutes démontrées au cours de la dernière guerre où il a rempli des missions très difficiles avant son retour à Hollywood. Depuis, il a tenu les promesses qu’il faisait entrevoir dans ses rôles de “B. F's Daughter”, “Tap Roots”, “Green Dolphin Street”, “The Strange Loves of Marta Ivers”. [ Lire la suite page 41] une belle expression de DEBORAH KERR, artiste originaire de l'Écosse et qui fit triomphalement ses débuts au cinéma anglais après avoir travaillé à l'école d'art dramatique de sa tante, à Bristol. — Cidessous, DEBORAH KERR, notre correspondante et VAN l'issue d'un déjeuner de la Presse Etrangère, à Hollywood.