Mon Film (January 1931)

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IL est vrai que l'interprétation est de premier ordré et que l'artiste lyriqué André Baugyé S'y taille un succès personnel par la variété el la puissance de s0on interprétation de Frénoy. Chanteur, comédien, acrobate et grime, André Baugé montre dans ce rôle des qualités que nous ne lui connaissions pas encore. Léon, Belières, dans le personnage de l'habilleur-cloun, est remarquable et partage une grosse partie du succès général. Paule Andral fait une Mme Mery Velcourt frivole à souhait, et Francine Mussey est une charmante et touchäante Yvette. La petite Gilberte Savary interprète à lasperfection te rôle de Lilette. Citons encore Géo Tréville, parfait dans le prétentieux personnage de Henry Velcourt ; Pierre Stephen, amusant en M. de Mirsoile ; Clermont (directeur de théâtre) et Nicolle (directeur de cirque). F'élicitons enfin comme il convient M. Frantz. de. l'Opéra, qui nous fait entendre sa belle voix dans une scène de messe de minuit. Les photos de Rondes des heures sont remarquables, et La sonorisalion ne mérile aucune critique. En résumé, c'est un grand Succès. que les circonstances exceptionnelles le permettaient, mais qui avaient su ne pas disapider sottement leur avoir comme beaucoup de léurs contemporains dans lé même cas. Henrv et Mirv étaient donc riches, très riches même ; maïs les préjugés auxquels ils étaient restés attachés ne les autorisaient pas à dépasser un certain niveau de relations sans grande envergure, Tous deux d'esprit étroit, Henry et Mérv Velcourt se contentaient d’une vie toute superficielle qui flattait leur vanité sans plus. Méry se donnaït des allures de coquette sans réelle élégance. Quant à Henry, sot et prétentieux par surcroît, i} ne se complaisait que dans-les lieux communs et méprisait toute originalité. Le ménage Velcourt avait une fille, Yvette, qui tranchaïit de.façon extraordinajire sur ses parents par sa vive intelligence, son indépendance, sa soif d'instruction et surtout son Cœur. La jeune fille avait refusé plusieurs partis que lui avait proposés sa famille et avait, un jour, officiellement informé ses parents que son choix était fait. L'homme’ qu'elle allait épouser était um artiste lyrique et se nomimat André Frénov.… — Un artiste lyrique ? dit le père, qu'est-ce que cela ?, Un « cabotin », tout simplement... Et c'est un homme comme celui-là auquel tu veux t'unir pour toute la vie 2... Ce m'était vraiment pas la peine de t’élever comme nous l'avons fait, avec les sacrifices que nous .avons. consestis, pour en arriver à uné pareille mésalliance ! Mais la décision d'Yvette était irrévocablement prise et, bon gré mal oré, les Velcourt durent s'incliner à regret. Ils conservèrent d'ailleurs toujours rancune à leur fille de ne pas S’être mariée suivant leurs désirs, de sorte que les deux foyers n'avaient que des points de contact très espacés. Mais la sottise des parents n'empêcha pas les jeunés époux d'être heureux. André “et Yvette étaient très épris l'un de l'autre, et la meilleure harmonie régnait dans leur ménage, harmonie accrue au ,bout de quelque temps par l’arrivée d’une délicieuse petite fille : Lilétte. André Frénoy possédait non seulement de belles dispositions. pour Le chant : voix supérbe, souffle puissant, mais c'était encore un artiste, dans toute l’acception du terme, qui aimait sa profession et attendait, en se préparant avec acharnement, le moment propice pour atteindre la renommée et la gloire. Yvette avait une entière confiance en son mari; non pas une confiance aveugle bien souvent conséquente à un amour sincère et passionné, mais une confiance raisonnée. Elle savait qu'il devait réussir un jour. Et ce jour vint enfin !.. André Frénoy avait été, ai COUrS de-ses études, remarqué par un ami © RON DES Ki intime du directeur de l'Opéra-Comique qui s’'empressa de lui signaler le talent du jeune homme. e André, qui possédait une superbe voix de baryton, fut entendu à s05 insu, Le lendemain, il était convoqué dans notre deuxième théâtre lyrique pour un sérieux engagement, Ses débuts devaient avoir lieu quelques jours plus tard dans e rôle de Figaro du Barbier de Séville. Dire la joie d'Yvette, lorsqu'il lui apprit la bonne, l'excellente nouvelle, est indescriptible, Allons ! la vie 5’ouvrait décidément riche d'espoirs et généreuse de promesses devant Ces trois êtres qui s'adoraient.…. C'est avec une réelle émotion que Frénoy aborda le plateau de l'OpéraComique devant une salle ultra-chic et pleine à craquer. Mais la flamme qu'il portait «en lui brilla aussitôt, plus vive que jamais, et, surmontant le « trac », il fit de Figaro une des plus belles créations qu'ait connues Ce rôle. Tout en restant dans la tradition, il imprima instinctivement au personnage de Beaumarchais un jeu très personnel, et c'est devant une salle debout, l'ovationnant avec frénésie, qu’il regagna sa loge après le huitièie rappel. : Yvette était déjà dans ses bras, sanglotant de joié, et le directeur, sans perdre un instant, se précipita aussitôt pour lui faire signer un contrat pour cinq ans. Hélas ! Fal'ait-il donc que le Destin brisât d’un seul coup des ailes prêtos à s'ouvrir ?.. André n'avait pas encore l'habitude de la ‘scène, l'habitude de la vie intime des artistes, IL ignorait de quels soins ceux-ci s'entourent, quelles pré: ‘autions ils prennent pour éviter les sinistres refroidissements. Trempé de sueur et tout à sa joie, le jeune homme ne se rendit pas compte qu'un courant d'air glacial l'avait atteint. Le lendemain, il devait s'aliter, pris par un gros rhume, et vingt-quatre beures après, le docteur diagnostiquait une congestion pulmonaire... . Yvette avait une entière confiance en son mari. ‘ ÉCCELELDTTELELEETEEE TELE TEL EETEETCETECETEE TEE COTE TETE CEOELECEELLELELECLEEELL CEE COELELEEELLETEE ILE LOLELELEELLLE IL ELLLEILECELLE ELLE CELEELLLTELLCEELELELLETELLLEEELLLLELEIEELIELLLLLLIL ILE Re REP 7. »