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Actualites Paramount susceptibles
FRENCH THEATRE CIRCUIT OWNER VISITS PARAMOUNT STUDIOS
Louis Aubert of Paris, president of the Film Chamber of Commerce of France and the owner and manager of the largest chain of moving picture theatres in Europe, recently visited the Paramount studio on Long Island as his first move in an American trip for the purpose of studying talking pictures.
Aubert arrived on the He de France in company with Maurice Chevalier, the French star who is now singing, speaking and acting in films being made by Paramount in Hollywood.
'J'he French theatre magnate was greeted at the Long Island studio by two compatriots: Jean de Limur, who now is directing "The Letter” in production there, and Robert Florey, who recently coml)leted the direction of "The Pusher-in-the-Face.” He also met Monta Pell, production executive, John W. Rutler, e.xecutive manager, and other chiefs at the studio.
Aubert was entertained after his arrival by Adolph Zukor and Jesse L. Lasky, president and vice-president of Paramount. Following the Long Island visit he left for Hollywood for a visit of about two weeks. In California he was the honored guest at a number of events, and his visit was made as useful and comprehensive as was humanly possible.
IN HOLLYtf OOI), M. Louis Aubert meets Hebe Daniels (start and Eddie Sutherland (director) of the brunette star's newest Paramount picture, “What A Night!”
M. ALBERT MEETS Monta Bell, Paramount director. Those in this group, taken at the Paramount Long Island Studios, are: Jean de Limiir, Robert Florey, M. Aubert, S. Mauricce Livingston, of Paramount’s Foreign Department in Home Office; and Monta Bell. On another page (3) we show you a glimpse of M. Aubert in company with M. and Mme. Maurice Cheyalier visiting Douglas Fairbanks.
30 Octobre 1928
|avez
Maurice CHEVALIER
parti pour Hollywood.
Maurice Chevalier 3 quilte Pans 1) y a t]iielques jours pour rejuindre a Hollywood la merveilleuse phalange des dette FAKAMOl NT Les uia
nifesiatiiiii' de -vinpathie qui se 'Ollt 'Uccrder lor de 'on depart, la ^rii"e puhlicite qiii lu. a eie la.te (et .|u d r. avail jainai^ roimue aussi {jraride avani d'etre a F.VHAMOU.N 1) nous lorn l.ie,, augurer de I'accueil turuiidalde que va
him.
1. .Amrrique -e prepare a Ir
<--t •eriaiii de troiiver auv Mudios FAKAMOl'.NT tons le
movei.. malenels el ton leS jppui' l^••raliy neceesaires pour l.iire uri iiiagnil iqiir debut a
Cient-^ dan I idee que c'e-l FAH A.Mnl \ I qui aura bieni.'.l le preinier him de ce| id<dc du pubix traui.ais qii’e-t Mauru e • lievalier, que ce film il tau. . quiL le pa->e,.t et qu M . paiei.i.
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Annde 28-29 N° 2
VOUS DU
un mot «'ss<‘iili«‘ll«‘mi‘iit amFrit-aiii, il li I'xiNlt* pas tlaiis la lani'iie ansilaKe ft Jf n arrivf pas a lui trt)u\»*r son fi|nivali'iit liaii^'ais.
1*KI‘ >eiit dire eoiiipiehenvioii et e\^>eiHioii rapide, initiative haidie bon jni'enient eeliii qni a du l*KP est eneririqiie et fin. il a de I’esprit de suite et tie I esprit tout eoiirt : il suit prevoir I a\enir, il est anssi enthoiisiiiste travailleiir : son eerxeau est ttuijouis en e\eil Href, il a toutes ees t|tialites t|iii a ntdre eptM|ue tie \ie intense. iLssiireiit le siieees ' Pour renssij il fant a>ttir du FEIV
I n exeiuple eiitif inille tin l*EI* ainiVii'aill
Kn .\nierique les inipriineurs ne se etuitenlent pas tl exeeuter les eoinniandes qu lui leur passe, ils xiennent relaneer lenrs elienis axee de non\elles idees Aiiisi >| >|el Slianer me laeontait que Ittrsqii il diriiceait a Ne\\-\ork le departement .\i iessoii es il avail toutes les peines dii mtuide {i se tlebanasser de qtiinze a viiiKt represeiitants il inipriineurs qui venaient tjuotidiennenient lui proposer tie nouveanx aeeesst»ii'es a ereer.
L iinprinieui franvuis attend les eoinniandes ehez lui. on lorsqu il se deranue r est pour faire de tiiniiles itlfres de service de simples propositions de prix sans peiiser que s il ariivait avee le projet realise d line idee i|U il auiait trouvee et etudiee liii-menie. il provoqiierail plus faeilement line itimmande.
L imprimeiir aiiif'rieaiii. lui se doeiimente. eherelie Iravaille va dans les einenias pour taehei' dt* troiiver ee ([ui pourrail plaire an public. Kiisuite il se prescnte. non plus en sollieiliMir mais en eollaborateiir qui apporte line idee nouvelle el tiblienl aiiisi, loisqiie I idee est interessante. une commaiide qu il n aiirait jamais olitenue autremeiit 11 rend aiiisi seiviee a soil client Itiiit en develoiipant scs propres affaires
< et imprimeiir a du |*|-)|*
M. Adolphe Osso, AdministrateurDelegue of the French organization has become enamored, and with good reason, of the famous word “Pep.” He believes that phonetically, intrinsically and in every other way it is art international word, descriptive of snappy, concise and effective action. He
seeks to introduce it and to popularise it within his French organization and ICC have every reason to believe that he ivill be highly successful. W e reproduce, therefore, his two-page editorial on the subject which, as you will notice, appeared in the October ‘iOth issue of “La Paramount Frunqaise.”
“LES AILES” CONQUERIT AUSSI L’ESPAGNE
Un de.s meilleurs cable.s regu le inoi-s pa.sse fut le me.ssage que Mr. E. E. Shauer regut tie Mr. Messeri, directeur general de la Division Matador. lui communicant le sueces de la premiere presentation de ‘Les Ailes' en Pjsjjagne. Get evenement eut lieu au theatre Avenida a. Madrid et fut regu avec le plus grand enthousiasme, non seulement par la presse mais aussi par les aviateurs espagnols qui approuverent a, I’unanimite la precision et la faculte d'entretien de ce film.
UNE ADDITION A LA CHAINE MONDIALE DES
theatres paramount
Ce fut vendredi le 19 octobre que le departement etranger de la T’aramount prit charge du theatre chinois moderne a I’extreme, de Stockholm, Suede. Ce fut §galement ce jour qu’eut lieu la dedication du theatre, un evenement, oil I'organisation Paramount fur representee par Mr. Melville A. Shauer, directeur general des Theatres Paramount Europ^ens. Le theatre sera .sous la direction locale de Monsieur Carl I’. York, directeur general de la Paramount scandinavienne.
SUPERB GESTURE. Across these two pages there is glorious evidence of the esteem in which the French exhibitors hold Paramount. At the top of the next page we attempt a eulogy of the manner in which the theatres of Paris are featuring the Paramount Trade Mark; and here, at the left, in our pardonable enthusiasm, we picture for you another of these theatres.
FRENCH THANKS
Bord, New-York, le 26 Octobre 1928 A Monsieur la Directeur du Paramount Famous Lasky Corporation.
Le Capitaine de Vaisseau, Commandant le “Duquesne,” prie Monsieur le Directeur du Paramount Famous Lasky Corporation de bien vouloir agreer ses remerciments les plus vifs pour Tamabilyite qu'il a eue en admettant a ses theatres les Officiers et les Marins du “Duquesne.”
Nous avons ete tres heureux de profiter de votre invitation dont nous gardons le meilleur souvenir, et nous vous adressons tons nos voeux pour la prosperite de vos theatres.
Le Capitaine de I aisseau, Bramaud du Boiicheron Commandant le “Duquene” (Translation)
Oct. 2Cth, 1928.
On Board, in New York,
To the Director of
Paramount Famous Lasky Corp.
The Staff Captain. Commandant of the "Duquesne” begs the Director of the Paramount Famous Lasky Corporation to accept his most vivid thanks for his kindness in admitting to his theatres the Officers and Sailors of the “Duquesne.”
We were very happy to have the benefit of your invitation from which we will treasure the best remembrance and take this opportunity to send you our best wishes for the prosperity of your theatres.
The Staff Captain,
Bramaud du Boucheron
Commandant of the "Duquesne.”
(Suite J( lu premise page)
IV que fait €«t iinprimeur damn sa partie, t'haque .\n)^ricain le fait damn la sienne. et e’est puiirquui j'estune que la principale raison du sueces fuudroyant de la jeune Am^rique dans toutes les branches de I'activitt^ bumaine, e'est que les Ani^ricains unt du PEP.
C’est au PEP qu est du le succ^s monlial de inusique de Jazz — de cette musique se d^gage du PEP
C’est au PEP qu e^t du le suceds des automobiles am^rU-ainM (dans eette branehe nous avons, il est vrai. (Vtroen, mais. dans ses r^cents articles du Jounuil, M reconnait avec franchise, qu'il est arrixV od il est, en se mettant d IVcole des Am^ricains).
Citroen a du PEP.
C'est au PEP qu est du le succds considerable calls le inonde entier de I’induHtrie cinematographique americaine.
J ainierais voir plus de PEP en France et d abord parnii mes collaborateurs. les Paramountiers franvais. Notre pays et notre PARAM01"NT Iraiivaise en seraient beaucoup plus grands.
AYEZ DONC Dll PEP Avoir du PEP
C'esl cumprendre vile.
C’e.st ejt^cuter aussi vile.
C'est suivre les instruction.s en vitesse et d la leltre.
C'est prtvviT et preparer Cuvenir,
C'est reflechir seneusentent,
C'est s'acitarner ensuite ci obtenir ce qu'on-veut.
C'est sour&e rne/ne quund ceUi ne va pas.
C’est aider ses collegues.
C'est ne pas se rnoquer de. tears efforts.
C'est an lieu de critiqaer sterilenient-, donner qiielqites id^es constructives.
C’est construire au lieu de deinotir.
C'est renJre service aver le sourire et avec rnodestie.
C'est savoir ,se rendre synipathique.
C'est avoir une grande capacile de travail.
(^est s' adapter rapidement aux nouvelles td^es.
("est en trouver soi-meme.
C'est de ne pas se corUerUer de ce qu'un a fait de bien bier.
C'est essaijer de faire inteux demain.
Lorsqii'on a du PEP on arrive aux grosses situations.
AVEZ-VOUS Dll hPEP»? ALLKZ-VOUS AVOIR I>U « PEP »> 1