What's New? (Summer 1972)

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— un échantillon de 5.000 unités a été réalisé par un tirage 4 l‘aide de nombres aléatoires. Donc I‘échantillon ainsi concu ne comprend que des réponses fournies par une clientéle que nous dirons active: la notion complémentaire,de clientéle en puissance en découle. Celle-ci ne faisait pas l’objet de l'étude qui se proposait uniquement de mieux connaitre un public supposé fidéle. D‘aucuns prétendront que la population commercialement intéressante 4 “‘sonder’’ est celle qui est composée par ceux que le cinéma a décus, ceux que le cinéma n‘a pas attirés, donc ceux qui n‘avaient aucune chance de répondre a l’enquéte puisque ne fréquentant plus ou pas les salles, théatre de la consultation. A cette argumentation légitime, nous opposerons que des études plus ouvertes ont été effectuées pour le Centre National de la Cinématographie. Il convient tout d’abord de situer le public dont nous observons les godts par rapport ala population de la région parisienne, quant aux ages et catégories socio-professionnelles (graphiques nos 1 et 2), ce qui revient 4 privilégier la couche de population agée de 15 & 35 ans dont il apparait qu’elle représente 70°/o. de notre public. CE CHOIX EST UN PARI Nous donnons aujourd ‘hui “‘le premier coup de pioche”’ dans le cinéma ‘‘l‘Avenue’’. Dans cing mois, nous vous accueillerons a nouveau pour l|’inauguration de la nouvelle salle ultramoderne reconstruite par Georges Peynet, dans la coquille vide de I’ancien ‘‘Avenue”’ Notre pari consiste 4 penser qu’il en est de notre métier et de nos salles de cinéma comme des autres activités. || faut quelquefois y porter la pioche pour abattre les murs des routines, des mauvaises habitudes, des partis pris et des structures désuétes, et c’est sur leurs décombres qu’il faut recréer des salles modernes et jeter les bases d’une gestion jeune et efficace. Telle est notre conviction et depuis des années nous sommes allés au devant de cette évolution. Nous avons entrepris une création de salles PublicisChamps-Elysées, Publicis-Orly, Publicis-Saint-Germain, TransluxGobelins, Translux-Montparnasse, Translux-Elysée II, qui ont déja marqué le cinéma et modifié son implantation. Nous sommes partis de cette idée-force selon laquelle toute crise économique ou de mutation, impose aux responsables des secteurs concernés un dynamisme accru. Malheureusement trop souvent, les professionnels du cinéma ont considéré les difficultés qui les accablent avec fatalisme et comme des phénoménes sur lesquels ils n‘auraient aucune prise. Nous pensons au contraire, que les problémes que nous rencontrons peuvent étre surmontés, 4 condition d’étre d‘abord identifiés. Nous ne voulons pas analyser aujourd‘hui les motifs qui expliquent la baisse de la fréquentation, mais nous voulons signaler la part de responsabilité qui incombe 4 notre branche de l’exploitation. Leur étude exige de l’objectivité et leur solution des remédes énergiques et audacieux, car 4 quoi sert le savoir s’il ne Wasi = Fo ae Wire Tas Pe = Mla ein = ot ar THIS DECISION IS A CHALLENGE Today, we are tearing down the Avenue Theatre, in five months, we will be welcoming you to the inauguration of the new, ultra-modern Avenue theatre rethought and rebuilt by Georges Peynet. We believe that our trade and our theatres are also a form of art, only one aspect of entertainment. It is sometimes necessary to break the routine, put aside bad habits, set policies and antiquated structures. It is on these remains that we must recreate modern theatres, and put forth a young and efficient management. This is what we believe, and for many years now, we have been a step ahead of the changes. We have undertaken the creation of several theatres: the Publicis-Champs-Elysées, the Publicis-Orly, the Publicis-SaintGermain, the Translux-Gobelins, the Translux-Montparnasse, the Translux-Elysées 11. These theatres have already influenced the cinema and modified its planning. The main idea behind this change, was that economic crisis Or mutation, imposes on the people responsible of the various sectors, an increased vitality. Unfortunately, the professionals of our trade have much too often considered with fatalism the difficulties they were subjected to and therefore could not deal with them as they should. We believe on the contrary, that every problem can be solved as long as it is properly understood. It is not our purpose to explain here the reasons for the decrease in public attendance, however, we wish to underline the responsibility that falls onto our sector of management. To study these reasons demands objectivity, and their solution must be energetic and audacious, for to what purpose is knowledge if it does not lead to action? But, if we are to help the movie industry, we must devote our